Parlons ensemble de Sceaux

Engagée depuis de nombreuses années dans une démarche régulière de concertation citoyenne, la Ville poursuit son initiative en organisant de nouveau “Parlons ensemble de Sceaux” en 2024.

Donner la parole aux Scéens

Initiée en 2012, la démarche participative “Parlons ensemble de Sceaux” avait permis à plus de 1 400 Scéens d’exprimer leurs attentes concernant leur ville et de faire émerger 169 propositions qui nourrissent la feuille de route de l’équipe municipale depuis 10 ans. En 2021, la démarche “Parlons ensemble des Blagis” avait également réuni et fédéré les habitants du quartier autour de projets collaboratifs. Comme le rappelle Philippe Laurent, maire de Sceaux, « l’objectif de ces concertations est de permettre à un grand nombre de Scéens d’être acteurs de l’avenir de leur ville en étant force de propositions sur les améliorations et innovations possibles ».

Un rendez-vous installé à Sceaux

Ces diverses démarches de concertations citoyennes entre Scéens et élus sont devenus la marque de fabrique de la ville de Sceaux. Elles encouragent les échanges sur des sujets importants pour la Ville, favorisent les débats et permettent à la population d’être associée aux décisions qui la concernent. 

Divers sujets ont déjà été abordés comme l’aménagement du centre-ville, l’environnement ou le quartier des Blagis, ce qui a permis de faire avancer de nombreux projets : la restructuration du château de l'Amiral, les travaux du centre commercial des Blagis qui commencent à la rentrée, l’ouverture de France services et d’une agence postale communale en 2022, la création de nouveaux évènements tels que les Nocturnes des Blagis, le Printemps des transitions, etc.

Une nouvelle concertation en 2024

Face au climat général de défiance que traverse le pays, le dialogue permanent entre les maires, les élus de proximité et les habitants est primordiale pour assurer un renouveau démocratique et porter un regard neuf sur les évolutions récentes de la ville. Une enquête qualitative a été menée aux mois d’avril et mai en interrogeant un panel varié d’habitants. Un film était projeté lors de réunions afin d’amorcer le dialogue et provoquer des échanges autour de divers sujets. 

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